Quelques arguments clés :

Investir au lieu de subir !

Investir afin de maintenir et développer l’attractivité de la commune pour plus de 40 ans au lieu de devoir payer une facture d’au moins 3 millions de francs pour démanteler toutes les infrastructures existantes sur le domaine de Chemeuille.

Construire une infrastructure moderne et confortable, utilisable toute l’année, avec des coûts d’exploitation estimés à seulement CHF 330’000.- par an, personnel compris. Même sans ouveture du domaine skiable ou avec une saison de ski réduite par manque de neige, ces coûts seraient couverts facilement en doublant, sur toute l’année, le nombre de montées «piétons» réalisées actuellement en 3 mois d’été.

Maitriser les coûts d’exploitation !

S’adapter au changement climatique

Anticiper les difficultés liées au réchauffement climatique et l’absence de neige à 1500m en offrant un accès rapide, sûr et confortable à 2100m afin de pouvoir y proposer toutes les activités hivernales indispensables dans une région touristique alpine et dans un lieu de vie comme la région d’Evolène et le Haut Val d’Hérens.

Eviter la mise en danger des secteurs d’Arolla et de La Forclaz. Avec la fermeture brutale des pistes d’Evolène, les deux autres secteurs ne pourraient en effet pas accueillir tous les skieurs de la région dans de bonnes conditions (restauration, parking,…) en particulier lors des périodes de haute-saison où les files d’attente et la surfréquentation des pistes nuiraient à la bonne réputation de l’ensemble de l’Espace Dent-Blanche.

Préserver la qualité de l’accueil de nos hôtes en hiver !

Consolider la valeur des biens immobiliers

Eviter une dévalorisation de tous les biens immobiliers de la commune évaluée entre 10 à 15%. En effet, la présence ou non d’infrastructures touristiques et de remontées mécaniques est logiquement prise en compte dans les évaluations des banques notamment pour le calcul des hypothèques.

Donner les moyens financiers nécéssaires et l’appui populaire au Conseil d’Administration et à la Commune pour négocier de manière plus équilibrée avec les associations qui s’opposent actuellement au projet et demandent la fermeture du domaine et obtenir les autorisations nécesaires pour lancer les travaux.

Démontrer l’intérêt et le soutien de la population à ce projet aux opposants actuels